Vous savez très probablement que votre consommation de sucre peut influencer votre poids, vous savez peut-être qu’elle peut influencer votre énergie… Mais saviez-vous qu’elle peut aussi avoir un impact direct sur votre cerveau ?

Découvrez dans cet article comment le sucre en excès, peut brouiller votre cerveau, quelles sont les alternatives pour soutenir un esprit vif et alerte et la solution des nootropiques. Vous pouvez également écouter cet article dans l’épisode 159 de mon podcast KINOA.

Le lien entre sucre et cerveau

Votre cerveau est aussi gourmand que vous, il aime le sucre et c’est même lui qui utilise 20% de l’énergie totale de votre corps, son carburant principal est…. Le glucose ! C’est à dire le sucre.

Donc le sucre est essentiel pour que le cerveau fonctionne bien, mais comme pour tout, le problème est quand il y a une situation de carence ou d’excès. Une carence en glucose mettra votre cerveau dans l’incapacité de réfléchir clairement alors qu’un excès de sucre pourra vous mettre dans un état de surexcitation, de manque de concentration et de difficulté à mémoriser.

Dans le cas du sucre, il y a 2 notions à prendre en compte :

  • La qualité des sucres consommées. Ils ne sont pas tous pareil, et ne vont donc pas tous avoir le même effets sur votre corps et votre cerveau. Prenons l’exemple d’un sucre en poudre blanc raffiné et d’un sucre complet, le taux de glycémie dans le sang va monter plus vite après la consommation d’un sucre blanc raffinée à l’index glycémique élevé qu’après la consommation d’un sucre complet.
    Il en est de même avec les céréales blanches et complètes ou semi complète, puis aussi entre un sucre rapide simple et un sucre plus lent, c’est à dire entre une barre au chocolat ou une pâtisserie et une assiette de riz semi complet. Les sucres rapides à index glycémique élevé vont beaucoup plus impacter votre corps et votre cerveau que les sucres lents à index glycémique bas ou modéré.
  • La quantité. Forcément comme je le dis souvent « Tout est poison, rien n’est poison c’est la quantité qui fait le poison ». Cette citation emprunté à Paracelse est très juste.

Cependant n’oublions pas non plus que ce qui compte également est la façon dont le corps et le cerveau vont utiliser le sucre que vous consommez et cela dépend aussi de votre digestion. Si votre système digestif est en difficulté – par exemple, en cas de mauvaise absorption ou de dysbiose intestinale — et bien ça peut perturber la manière dont le glucose est assimilé et utilisé par vos cellules cérébrales. Résultat : vous observerez des fluctuations encore plus importantes de votre énergie mentale.

 

Les 3 principales conséquences d’un excès de sucre sur le cerveau

Le dérèglement des niveaux d’énergie :
Consommer trop de sucre créer des pics de glucose dans le sang suivis de chutes brutales proportionnelles.  C’est à dire que plus le pic est rapide et haut plus la descente est rapide et basse. Résultat ? Vous passez rapidement d’une sensation d’énergie à un état de grande fatigue mentale et d’irritabilité.

Ce sont ces pics qui influent sur votre humeur et votre état mental. Vous consommez du sucre, beaucoup de sucre : la glycémie monte beaucoup dans le sang, elle va ensuite redescendre aussi rapidement sous l’effet de l’insuline qui est en charge de réguler le taux de sucre dans le sang. Cette baisse rapide du niveau de sucre dans le sang peut provoquer une hypoglycémie qui va perturber votre humeur. Lorsque vous êtes en hypoglycémie, c’est à dire en manque de sucre, vous êtes en manque de drogue donc énervé, irritable, avec des difficultés à vous concentrer. Et c’est à ce moment là qu’un cercle vicieux peut se mettre en place en raison de la “bataille” entre prise de sucre et hypoglycémie, vous amenant à avoir toujours plus envie de sucre pour remonter votre niveau de glucose sanguin. Malheureusement, ces fluctuations peuvent affecter vos niveaux de sérotonine, un neurotransmetteur associé à la régulation de l’humeur. Et des niveaux faibles de sérotonine peuvent contribuer à l’apparition de symptômes de dépression et d’anxiété.

 

L’inflammation cérébrale :
Le sucre blanc, raffiné, de mauvaise qualité est un aliment inflammatoire. Une alimentation trop sucrée va donc participé à une hausse significative de l’inflammation globale, on va parler  alors d’inflammation chronique et nous savons aujourd’hui grâce à des études de plus en plus nombreuses que l’inflammation, lorsqu’elle est chronique, répétée, va se déplacer jusqu’au cerveau. On parlera alors d’inflammation cérébrale et cela peut conduire à des troubles cognitifs comme la perte de mémoire ou même à des maladies neurodégénératives comme Alzheimer.

 

La consommation excessive de sucre :
D’autres études montrent que les régimes riches en sucre peuvent ralentir les connexions neuronales, ce qui impacte la vitesse à laquelle nous pensons, nous apprenons et nous nous souvenons. Cela impacte engendre dons de la perte de mémoire, des difficultés d’apprentissage et de concentration.

Nous savons aussi que le sucre provoque un pic de glycémie associé à un pic d’énergie et d’éveil qui peut en excès devenir un pic d’excitation et d’énervement (souvent vu chez les enfants). Lorsque cet état se répète en permanence, l’enfant ou l’adulte a du mal à se concentrer, à mémoriser et à apprendre.

Au delà des risques de diabète, de problèmes cardio-vasculaires ou de caries, qui sont souvent les perturbations physiologiques à risque, associés à une surconsommation de sucre, il y a aussi énormément de conséquence pour le cerveau.

 

La grande difficulté est que le sucre est hyper addictif. Plus que la cocaïne selon des études faites sur des souris en laboratoire. Ceci s’explique par le fait que le sucre stimule la libération de dopamine, l’hormone du plaisir et donc active le circuit de la récompense qui fait qu’on en veut toujours plus et encore.

Il est donc compliqué d’en avoir une consommation raisonnée. Pourtant, pour rester en santé il faut tendre vers l’équilibre.

 

Comment réduire limpact du sucre sur le cerveau ?

Tout commence par une digestion efficace. Si vos intestins fonctionnent bien, vous absorbez les nutriments de manière optimale, y compris les glucides complexes qui libèrent leur énergie lentement. Une digestion compromise peut entraîner une mauvaise gestion du glucose et cela augmentera les effets négatifs du sucre sur vos fonctions cognitives

 

Ensuite il va falloir stabiliser votre glycémie, votre taux de sucre dans le sang :

L’objectif est d’éviter les montagnes russes de glucose, éviter les grands pics et les grosses descentes. Voici mes conseils pour cela :

  • Associez les glucides à des protéines et des graisses pour ralentir leur absorption.
  • Privilégiez des aliments à index glycémique bas. Pour vous y retrouver, vous trouverez des tableaux sur internet qui répertorient les aliments selon leur index glycémique.
  • Usez et abusez de la cannelle sur vos préparations, c’est un super hypoglycémiant.

 

Je vous conseille aussi de remplacer le sucre blanc raffiné par des alternatives plus naturelles à index glycémique modéré comme le sucre complet (de son petit nom rapadura ou muscovado) ou encore le sucre de coco.  Ces alternatives ont un moindre impact sur votre glycémie et contiennent aussi des micronutriments bénéfiques.

 

Intégrez des aliments soutenant les fonctions cérébrales. Misez sur les baies, les noix, les poissons gras ou encore le curcuma, qui sont anti-inflammatoires et nourrissent le cerveau.

 

Rééquilibrer votre système nerveux. Le stress chronique augmente la consommation de sucre. Plus vous êtes stressés plus vous aurez envie de sucre pour compenser et nourrir votre système nerveux donc en travaillant sur la gestion du stress avec le yoga, la méditation ou des exercices de respiration, vous réduirez naturellement vos envies de sucre.

 

 Aidez-vous avec des nootropiques !

 

Les nootropiques, alliés de votre cerveau

Les nootropiques (aussi appelé smart drugs ou médicament intelligent en français) sont des substances naturelles (ou synthétiques) qui travaillent en synergie pour améliorer les fonctions cognitives, les performances cérébrales comme la mémoire, la concentration ou encore la résistance au stress. Ce ne sont pas des ‘boosters’ comme le café : ils agissent en profondeur, en soutenant la santé de votre cerveau.

Et en bonus, certains nootropiques ont aussi un effet bénéfique sur la digestion. Par exemple, les oméga-3 et certains adaptogènes comme le curcuma ont des propriétés anti-inflammatoires qui agissent aussi bien sur le cerveau que sur l’intestin. Nous le savons aujourd’hui : un intestin en bonne santé favorise un esprit clair et performant. C’est ce qu’on appelle l’axe intestin-cerveau, un lien fascinant et puissant dont je vous ai déjà parlé et dont je vous reparlerais.

N’oubliez pas que ce sont des compléments, donc je vous rappelle que des compléments ne sont pas des pilules magiques mais des aides précieuses en complément d’une hygiène de vie adaptée.

Votre cerveau est constamment sollicité au travail, à l’école ou dans votre quotidien. Donc ici les nootropiques vous aideront si vous êtes stressés, fatigués, surchargés d’informations, que vous manquez de sommeil ou que vous avez des problèmes de santé qui perturbent vos fonctions cognitives.

 

Il faudra tout de même et même avant tout, rééquilibrer vos principaux piliers de santé que sont l’alimentation digeste et anti-inflammatoire, le sommeil, l’activité physique et la gestion du stress. En complément de ce travail-là, vous complémenter en nootropiques pourra vous être d’une grande aide pour optimiser vos performances mentales dans des périodes plus à risques, plus intenses ou compliquées.

 

Voici mes nootropiques préférés :

  • Le bacopa, une plante adaptogène utilisée depuis des siècles en médecine ayurvédique pour améliorer la mémoire et réduire l’anxiété. Elle est idéale pour ceux qui se sentent souvent surmené.
  • La rhodiola, un autre adaptogène qui aide à combattre la fatigue mentale et améliore la concentration.
  • Le nootropure (le plus complet) de chez Nutripure qui contient de la Tyrosine (pour améliorer la concentration et les performances cognitives), de la rhodiola, du bacopin (la substance active du bacopa citée plus haut), mais aussi de la Citicoline qui améliore la mémoire et les performances intellectuelles et du Huperzine qui accroît le fonctionnement intellectuel géné.

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Vous pouvez ressentir un effet immédiat de ce complément qui est dû à la présence de la tyrosine. Cet acide aminé a un mode d’action similaire au café, mais sans la présence de caféine. Même si l’effet immédiat du Nootropure peut être intéressant dans certains cas de figure (compétition, évènement important, situation stressante…), je vous conseille de le prendre plutôt sous forme de cure pour profiter aussi de tous les bienfaits des autres ingrédients.

Je vous conseille également de commencer doucement par une ou 2 gélules et d’observer les effets sur vous. Vous pourrez ensuite allez jusqu’à 3 gélules par jour si vous prenez le complément Nootropure de chez Nutripure.

 

Pour résumé : Le sucre a un rôle central dans votre énergie mentale, mais en excès, il peut brouiller vos fonctions cognitives et favoriser l’inflammation. En ajustant votre alimentation et en stabilisant votre glycémie, vous pouvez améliorer votre clarté mentale. Les nootropiques sont des excellents compléments pour soutenir votre cerveau, surtout dans notre monde moderne exigeant.

Votre cerveau, comme votre corps, mérite le meilleur. Une alimentation équilibrée et des outils comme les nootropiques peuvent vraiment faire la différence.

Allez-y étape par étape et observez ce qui fonctionne pour vous.