Ce que j’emporte avec moi

Vous le savez, il est impossible d’espérer des résultats différents en répétant les mêmes actions. Cette rentrée est l’occasion idéale d’oser faire le tri, alors voici pour commencer ce que j’ai choisi de garder :

🌿 Je garde l’idée que ralentir, ce n’est pas perdre du temps, au contraire, c’est en gagner. Dire non à certaines choses, à certaines sollicitations, à certaines attentes extérieures, c’est dire un grand oui à moi, à mon énergie, à mon équilibre. Cet été m’a rappelé que chaque fois que je lève le pied, je respire mieux, je digère mieux… et surtout, je savoure plus.

🌿 Je garde l’écoute de mon ventre, parce que lui, il sait avant moi quand quelque chose ne va pas. Si ça coince, si ça gonfle, si ça bloque… ce n’est pas le moment de chercher un régime miracle ou une solution toute faite. C’est le moment de ralentir, de revenir à moi, de me demander : De quoi j’ai besoin maintenant ?

🌿 Je garde la permission de ne pas viser la santé parfaite, parce que cette idée n’existe pas, et qu’elle est souvent plus culpabilisante qu’inspirante. Accepter que parfois ça tangue, que parfois j’ai moins d’énergie, que parfois j’ai juste besoin de tout poser… et que c’est normal. Que ça fait partie du vivant.

🌿 Je garde cette image de l’équilibre comme une danse, pas comme un point fixe qu’on doit tenir à tout prix. J’avance, je recule, j’expérimente, j’ajuste mes pas quand ça glisse. Je m’autorise à sortir de la chorégraphie parfaite pour improviser quand c’est nécessaire. Parce que c’est ça qui me rend vivante.

🌿 Je garde aussi cette confiance en ma légitimité : ce que je fais aujourd’hui est suffisant. Je n’ai pas besoin d’en faire trois fois plus pour mériter ma place, pour être crédible, pour être « assez ». Je suis déjà légitime dans ce que je sais, dans ce que je transmets, dans qui je suis aujourd’hui.

🌿 Et puis, je garde l’envie de prendre soin de mon métabolisme sans violence, sans me torturer avec des régimes drastiques ou des injonctions impossibles à tenir. Je choisis le mouvement doux, le repos quand il s’impose, le plaisir dans mon assiette, la variété qui nourrit mon corps… et la simplicité qui apaise mon ventre.

Ce que je laisse derrière moi

Parce qu’alléger son sac, c’est aussi savoir ce que nous ne voulons plus porter, voici ce que je décide de laisser derrière moi :

❌ Je laisse la pression de tout bien faire, tout le temps, parce que cette pression ne m’a jamais apporté que du stress et une sensation de ne jamais être « assez ».

❌ Je laisse le rythme effréné qui me coupe de mes vrais besoins, celui qui me fait passer mes to-do list avant mes signaux intérieurs. Parce que non, cocher toutes les cases n’est pas la vraie réussite.

❌ Je laisse les listes interminables qui m’empêchent de respirer, de prendre un café en conscience, de savourer un repas sans culpabilité. Je veux des journées pleines de sens, pas pleines de cases.

❌ Je laisse cette croyance épuisante que je dois mériter ma place à chaque instant, prouver sans cesse que j’ai le droit d’être là. Ma place, je la prends. Point.

❌ Et surtout, je laisse derrière moi la culpabilité de prendre soin de moi. Elle est trop lourde, inutile et elle n’est pas invitée pour cette rentrée. Mon bien-être n’est pas négociable. Mon ventre me le rappelle chaque jour.

Voilà mon petit bagage pour cette rentrée : un sac plus léger, mais rempli de ce qui compte vraiment. Des idées simples, du concret, du bon sens… et surtout, beaucoup plus d’indulgence envers soi-même.

Et vous, quel est votre rituel de rentrée ?

Qu’est-ce que vous avez envie d’emporter avec vous pour ces prochains mois ? Qu’est-ce que vous pouvez décider là, tout de suite, de laisser derrière vous pour de bon ?

Je vous invite à faire un mini rituel : prenez une feuille, ou ouvrez une note sur votre téléphone, et écrivez deux colonnes :
✅ Ce que je garde
🚫 Ce que je laisse

Allez-y franchement. Notez ce qui vous allège, ce qui vous fait sourire, ce qui vous donne de l’élan. Et notez aussi ce que vous ne voulez plus traîner comme un boulet : ces habitudes, ces injonctions, ces peurs qui vous freinent plus qu’elles ne vous protègent.

Et si le cœur vous en dit, partagez-moi votre liste, j’adore lire vos prises de conscience et ça pourra peut-être inspirer d’autres femmes à faire de même.

On ne peut pas tout contrôler. Mais on peut choisir, un pas après l’autre, ce qu’on garde et ce qu’on laisse filer. Et parfois, ça suffit à changer toute une rentrée.

Je vous souhaite une rentrée alignée, douce, vivante et un ventre heureux pour vous accompagner.

Et si vous avez envie d’aller plus loin, de cultiver cette confiance et de reconnecter votre ventre et votre vie, vous pouvez rejoindre mon accompagnement sur 12 semaines, Happy Belly Happy Life, le premier programme de santé globale qui met votre ventre au cœur de votre bien-être.